Deuxième édition pour la Block Party du Supersonic ! Un festival avec 4 lieux pour se balader pendant 3 jours de concerts pour cette fête de quartier qui aura lieu du 30 mai au 1er juin dans le 11ème arrondissement à Paris. Vous ne connaissez pas encore tous les noms de l’affiche ? Pas de panique ! On a fait notre marché dans cette programmation délirante et éclectique pour vous conseiller les groupes à ne pas rater. Le tout dans leur ordre d’apparition.
Sûrement la tête d’affiche officieuse du week-end, ce duo est l’incarnation de ce pourquoi l’Angleterre est toujours à surveiller de près. Un échantillon des possibles assez effarant dans un album de 15 titres qui semble écrit et joué par 3 groupes différents. En plus de l’interview que nous avons prévu de faire, c’est l’une de nos grandes attentes pour un groupe qui s’est rôdé en fin d’année dernière en ouvrant à la maison pour les Sleaford Mods.
L’urgence et l’énergie d’ENOLA nous a convaincu en quelques minutes qu’il faudra bien être au Club à 21h10. Son EP All Is Forgiven devrait vous forcer la main si nécessaire.
Attention aux faux-amis : c’est par le sprint de l’intro de ‘Fire‘ que nous misons sur les Marathon. Fin de la blague : rendez-vous samedi.
Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un représentant de l’écurie Epitaph et Death Lens en est une récente signature ! Leur premier album Cold World sent bon la vidéos de skate, le garage transformé en lieu de répét’ et les virées à Los Angeles. Mais ça, une IA aurait pu l’écrire. La vraie diff se trouve dans un son tirant âpre et brut qu’on n’attendait pas de leur part comme sur leur excellente ‘Limousine‘.
Un quatuor coloré et chatoyant qui se permet des gros riffs à la Jack White au milieu de compos très pop. Est-ce qu’il y a meilleure manière d’entamer un samedi ? Pour le moment, la seule chose qui fait qu’on ne félicite pas congratulations, c’est pour l’embouteillage avec le groupe suivant qui joue 20 minutes plus tard.
Défriché, c’est programmé un trio avec 2 titres en stock dont un sorti officiellement en mars dernier. Bien habités et agités, on compte sur test plan pour allumer la mèche du dernier jour à 19h. En studio, ils ont l’air d’en avoir toutes les compétences.
La carte mystique et psyché de l’affiche, toujours utile d’avoir quelques trous d’airs dans les montées pour aménager le réassort au bar.
L’expert du déhanchement, ce sera Baba Ali. Forts d’un Laugh Like A Bomb sorti l’an dernier, le groupe pioche autant dans le punk pour l’énergie que dans la disco pour ses rythmiques. La fièvre du samedi soir risque de frapper fort et à l’heure. Pour se dandiner, Teenage Dads et sa pop/folk sucrée devrait nous mettre en jambes une heure plus tôt.
Lourde tâche que de mettre un point final à un festival et Texoprint et son rock racé venu des Pays-Bas nous semble équipés pour endosser le costume. Les guitares tranchent, la batterie galope et le chant fonce, idéal pour finir le week-end en trombe en lâchant les dernières forces sur la piste.