Rhaaa mais bordel quoi ! Ca fait a peu près deux mois que j’ai envie de me cogner la tête contre un mûr d’être aussi con. Mais comment j’ai pu louper cet album à sa sortie en Juin dernier ? Hein ? T’as la réponse ? Oui, je la donne quelques phrases plus tôt en fait. Et que revoilà nos charmants amis de Coalesce et leur Hardcore sombre, voir metalcore aux accents punk, crasseux et addictif. Ca faisait apparement dix ans qu’ils n’avaient pas sorti d’album, juste quelques ep par ci par là. Oh bordel de claque ! Et ça s’appelle Ox
Pour résumer, le truc est torché en 35 minutes pour quatorze titres. Ca envoit donc de la buchette par fagots de douze. Enfin quatorze au final. Très peu de perte de temps en digressions ininteressantes, on va droit au but, et on remballe. L’ambiance musicale est crado et assez sombre. Les intermèdes aux accents blues (intro de ‘Wild Ox Moan’, ‘Where Satire Sours’ et ‘We Have Lost Our Will’) permettent de respirer avant de se faire happer par une nouvelle lâme de fond. OH ! et puis l’épique ‘Dead Is Dead’, avant dernier morceau de l’album, aux accents Morriconien, juste parfait.
On alterne entre violence sauvage (‘The Plot Against My Love’, ‘The Villain We Won’t Deny’) et accalmies provisoires en a peine 35 minutes de temps, et pas du temps putain de perdu, au contraire. Restera plus qu’à aller écouter le reste et à espérer les voir un de ces quatre dans le coin, pour se prendre ce qu’on pourrait probablement appeler une faciale de testostérone.