Pendant que l’ami Doherty balance des pipes à crack à ses fans et essaie de renouer contact avec sa riche ex-futur-fiancée, d’autres ne chôment pas.
Carl Barat revient sur le devant de la scène avec un tout nouveau groupe. Encore sans nom, il se compose également de Gary Powell, impressionnant batteur des… Libertines, d’Anthony Rossomando qui palia jadis à l’absence de Doherty à la guitare au sein du groupe sus-nommé, et de Didz Hammond à la basse, lui venant de Cooper Temple Cause. Le groupe repart donc sur les bases des défunts Libertines, manquant à l’appel le bassiste devenu chanteur-guitariste John Hassal occupé à son groupe à lui, Yéti.
Une chose est sûre, Carl Barat ne chôme pas, entre deux sessions DJ dans son club Londonien, car il préparerait un album solo, dont toute sortie est encore indeterminée.
Pendant ce temps là, à Tijuana, Pete Doherty se noie dans un Whisky, seringue à la main ….